Sidi Aïch (Bejaia): non retenus dans une liste de logements, trois jeunes entament une grève de la faim

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Trois jeunes de la wilaya de Bejaia, originaires de Sidi Aich ont entamé dans l’après-midi de mercredi 7 décembre une grève de la faim illimitée.
Les trois jeunes hommes âgés entre 31 et 40 ans contestent le fait de ne pas bénéficier d’un logement social dont la liste des bénéficiaires en nombre de 70, a été affichée par la daïra de Sidi Aich mercredi dernier. Les trois protestataires ont élu domicile dans le parc de l’APC de Sidi Aich, sur place se trouvent des agents de la protection civile.
Avant d’entreprendre cette action, les trois jeunes hommes se sont plaints auprès du président de la daïra de Sidi Aich et ils l’ont prévenu d’entamer une grève de la faim.
Hamida Mechaï
EW 09 12 2011

21 thoughts on “Sidi Aïch (Bejaia): non retenus dans une liste de logements, trois jeunes entament une grève de la faim

  1. Je me demande si El-Flaye ne devrait pas manifester pour réintégrer la commune de Sidi-Aïch ou tout au moins exiger son quota de logements ???
    Tous ls terrains de Sidi-Aïch ont appatenu,à un moment ou un autre de l’histoire, aux gens d’El-Flaye.
    Sidi-Aïch et El-flaye sont un et indivisibles.
    Nous n’aurions jamais dû accepter de passer du statut de village à celui de commune !
    Nous vons tout perdu.
    Je n’oublierai jamais ma demande de logement à Sidi-Aïch qui a attendu 20 ans avant qu’on m’apprenne que mon dossier a été tranféré à El-Flaye. Je garde encore le récépissé en souvenir de cette belle arnaque !

  2. ya pa de logments à leflay parce que ya pas de terin.je suis daccor avec toi mouhoub pour que leflaye revendique un cota de logement a sidi aich,Moi aussi jé un réssépissé qui date de 30 ans. merci

  3. Le manque de foncier freine le développement de notre commune d’El Flaye; logement social et infrastructures.
    Des jeunes mariés et souvent avec enfants continuent de vivre chez les parents, les gamins jouent au Foot dans la rue, ce qui déplaît aux vieux du village.
    Nous pouvons trouver des solutions pour régler certains problèmes à condition que la population joue le jeu et ce pour l’intérêt de tous.

    1. Si tu penses à l’achat de terrains chez les particuliers, pourquoi pas? Mais,n’espères pas les acquérir à un autre prix que celui du marché ! Et surtout pas à faire cotiser la population. Ce n’est pas le problème du citoyen. Ceux qui obtiennent des logements à si-Aïch , eux, n’ont rien cottisé. On connait la chanson, je suis fonctionnaire de Skikda, je demande une mutation à sidi-Aich, j’obtiens un logement. Ensuite, 5 ans plus tard, je demande à être muté à Ghardaïa, la même chose, ainsi de suite…
      Les arabes sont prêts à tout, quitte à dormir avec femme et enfants sur l’escalier de la mairie ou à planter deux taules sous un pont…
      Ils nous ont toujours eu comme ça et ça continue…
      Je suis trés en colère car j’ai deux fils qui refusent de se marier a cause du foutu logement;
      Jusqu’a quand ?!

  4. J’ignore totalement ce que stipule la loi par rapport aux découpages administratifs ? Peut-on faire un recours en haut lieu ? Peut-on cotiser pour prendre un avocat assez costaud qui plaiderait notre cause en grand professionnel ? Peut-on demander le réclassement de notre commune en annexe de Sidi-Aïch, comme elle l’a toujours été, auparavant ?
    Je suis citoyen d’El-Flaye depuis des générations et sans vouloir me montrer sectariste ou régionaliste, je refuse catégoriquement qu’un Sétifien débarque à Sidi-Aïch, loue une baraque et fait une demande de logement social qu’il finira par obtenir pendant que j’ai passé toute ma vie à essayer de monter quelques murs en parpaings.
    Je le répète , nous n’aurions jamais dû accepeter d’accéder au statut de commune !!! ( drôle de commune d’ailleurs ??? )
    J’en veux particulièrement aux FLNistes de d’El-Flaye de l’époque qui avaient laissé faire une telle connerie.
    Je ne leur souhaite même pas le paradis, tous tels étaient …
    Que faiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire ?????????????

  5. Bonjour Mouhoub,
    – Dommage, au lieu de se concentrer sur nos problèmes et leurs trouver des solutions, vous cherchez des boucs émmissaires à la limite du racisme.
    – Il y a bien des milliers d’El Flayois qui ont bien obtenu des logements sociaux à Annaba, Oran ,Alger, Paris, Setif, Usa, Canada etc…
    – Il faut ouvrir un débat sur ce sujet et proposer des solutions au lieu de s’enerver, me concernant, je n’ai pas pensé à l’achat de terrains à des particuliers mais à autre chose.
    Amicalement.

    1. Boujour ,
      Désolé, si je me suis laissé emporté. c’st de la colère pas du racisme. On sait qu’il n’ y aura jamais de logement à el flay.
      Même si on confie la gestion de l’APC i maricane, il ne trouvera pas où construire un building.
      Il faut une solution pas que pour moi,d’ailleurs.
      A quoi, avez-vous pensé ?
      mERCI

  6. Bonsoir Mouhoub,
    La mairie doit lancer une campagne de sensibilisation et un APPEL aux propriétaires de terrains sur la commune afin qu’ils cèdent une parcelle à un prix symbolique ou raisonnable pour la construction de logements sociaux.
    En contre partie la mairie doit céder un appartement à la famille ou deux si le terrain permet la construction de plusieurs immeubles.
    Amicalement.

    1. Bonsoir radmo,
      Javoue que c’est une excellente idée ! Elle ne ma jamais traversée lesprit.
      Merci baucoup

  7. Bonsoir
    Juste pour dire que l’APC est l’un des maillons faibles de tout le faible système du pouvoir algérien. La commune fait partie d’un décort pour montrer à l’extérieur qu’il existe une sorte d’architecture d’un Etat, ce qui est faux!
    Pourquoi je dis cela?
    Parce que le citoyen n’a, tout d’abord pas, à refléchir sur les solutions que doit envisager la mairie. Cela est une plaisenterie de mauvais gout!
    Biensur que la mairie peut faire des logements sociaux. Il faudra juste qu’elle fonctionne d’une manière normale.
    Normalement elle doit avoir le BUDJET nécessaire.
    Ensuite elle doit acheter le terrain avec le prix du marché! Et des terrains à acheter il y en a Dieu merci, nous avons peut etre une superficie plus grande que celle de Sidi aich en comptant l’autre côté de la rivière.
    Je ne comprends pas l’idée de CE PRIX SYMBOLIQUE que doit céder les Particuiers. Si un particulier veux être généreux il n’a pas besoin qu’on le lui souffle à l’oreille (on qu’on le lui impose!).
    Le jour ou le pays fonctionnera normalement, les citoyens y viverons en harmonie!
    Mais tant que des pekno jouerons aux marionnettes, on subira l’execrable citoyenneté qu’un grand nombre d’entre nous mérite énormément!

  8. Moi qui adore sérieusement ma commune pas parce que la mairie a été présente pour moi. Non pas du tout. Mais des gens bienveillants, raisonables, humains ont veillé sur nous ont existé à Elflaye et j’espère leurs rendre hommage un jour.

  9. Je rève qu’un jour on ecrasera ces marionnettes aux commende de notre village. Pour mettre en place une équipe compétante, bienveillante et PROFESSIONNELLE, c’est à dire qui fera sérieusement son travail d’aider le citoyen à vivre sa citoyenté.
    C’est à dire d’appartenire à la commune et d’y vivre paisiblement. DE S4AQUITTER DE SES DEVOIRS et ensuite d’avoir en contre partie tous ces droits.

  10. Dans une structure normale, on devrait pas tout perdre parce que nous passons à une commune. Mais commenent voulez vous que des gens incompétants plaident nos droits. C’est leur dernier soucis que d’aller reclamer ce qui nous est du! je ne parle pas juste d’un aller et revenir physiquement. Le fait de se deplacer à la wilaya pour boire un coup ou payer le café au wali n’est pas revendiquer ce dont la commune a besoin. Il faudra travailler dans son bureau, trouver les articles de loi, les budjets et les conditions de les octroyer. Ensuite il faudra user de tous les solutions pour les obtenirs! Faire chier autorités compétentes. Harceler ces chefs, le Wali, le chef de la daira. Les ministres.

  11. Enfin je comprend la colère de Mouhoub, car c’est injuste que des citoyens demandent un logement des années et qu’un étranger arrive et l’obtient en quelques moi. La réactuion de Mouhoub n’a pas lieu d’être si un minimum de logement été accordé aux demandeurs chaque année. Mes nous sommes déléssés, laissés à notre propre sort et on veut applaudir parce qu’on a offert à des gens étrangers des logements qui nous reviennent?

    1.  » Aimons-nous les uns , les autres ». Connerie ,OUI !
      Donnez-moi un logement et je vous aimerai  » TOUS  »
      Faqou !

  12. Actualités : BÉJAÏA
    Les élus de l’APW fustigent la gestion des services de l’équipement de la wilaya
    Les élus de l’APW ont sévèrement décrié les services de la Dlep de Béjaïa au cours de la séance organisée lundi et consacrée à l’examen et l’adoption du budget primitif pour l’exercice de l’année 2012 ainsi que l’analyse du rapport sur les projets de réalisation du secteur de l’enseignement supérieur à Béjaïa.
    Les élus notent dans leurs interventions que des projets inscrits, pour certains en 2006, 2007 et 2008, ne sont pas à ce jour «livrés». Citant, à titre d’exemple, la réalisation de l’auditorium de 1 000 places inscrit dans un programme datant de 2008. Ce projet qui a connu un début des travaux en septembre 2009 pour un délai d’exécution de 7 mois ne sera pas réceptionné avant le mois de juin 2012. En réponse aux motivations de ces retards précisés dans un rapport par la Dlep, qui souligne que les délais objectifs pour la réalisation des gros œuvres sont de 18 mois, le P/APW s’interrogera sur quelle base a été retenue l’entreprise sachant que les délais sont sous-estimés et généreraient une situation conflictuelle entre l’entreprise et l’administration avec comme conséquence des dommages pour l’université qui souffre pourtant d’un énorme déficit au point de forcer l’inscription d’une partie des nouveaux bacheliers vers d’autres universités du pays. Les mêmes retards criants sont observés pour d’autres projets comme le bloc laboratoire (2006) : prévision de réception mars 2012. La réalisation de 50 logements au profit du secteur de l’enseignement supérieur (2007) a été entamée en janvier 2011 avec un taux d’avancement des travaux de 35%, un bloc ensemble de bureaux administratifs sur un programme de 2007 avec un taux d’avancement de 75% et dont la livraison est annoncée pour mars 2012. Dans son intervention, le président de l’APW, Ferhat Hamid, n’y est pas allé de main morte pour fustiger les services de l’équipement de la wilaya qui font «preuve de plus en plus d’irresponsabilité et de mauvaise maîtrise dans la conduite des projets». «Cette situation décadente et éminemment nuisible au développement de notre wilaya est totalement condamnable. Les pouvoirs publics demeurent interpellés pour prendre toutes les dispositions urgentes afin de contrer les actions malveillantes usant à maintenir notre région dans l’inertie et le sous-développement», a dénoncé le président de l’APW. Lors de la réunion, des projets en cours de réalisation sont annoncés au profit de l’enseignement supérieur à Béjaïa pour soulager la pression qui pèse sur l’université Abderrahmane- Mira. Il s’agit de la réalisation de 6 000 places pédagogiques à El-Kseur, 1 000 lits à El-Kseur, 2 000 lits avec dépendance à Amizour et 3 000 lits d’hébergement à Amizour ainsi que 6 000 places pédagogiques à Amizour. Un projet de 80 logements au profit de l’enseignement supérieur, opération inscrite à l’index du rectorat de l’université, est aussi inscrit au programme. Dans son intervention, le wali de Béjaïa a indiqué que pour permettre la réalisation de ces projets rapidement, le gouvernement a répondu favorablement en accordant à la wilaya une dérogation pour traiter de gré à gré les marchés liés au programme de l’enseignement supérieur à Béjaïa. La première autorité de la wilaya a souligné dans son intervention que malgré les efforts fournis pour résorber les déficits des exercices antérieurs, la prochaine rentrée scolaire et universitaire risque encore de connaître des difficultés. Sur le point lié à l’examen du budget primitif 2012, consacrant 2 953 448 694,90 DA pour le chapitre fonctionnement et 949 452 596,78 DA pour les dépenses relatives à l’équipement, entre autres les grosses réparations des chemins de wilaya, l’électrification des divers localités et les subventions aux communes, les élus ont rejeté la proposition de l’administration pour l’octroi d’une enveloppe de quatre milliards de centimes en vue de la réfection de la résidence du wali. Tout en demandant des explications sur ce «refus», Hamou Ahmed Touhami, wali de Béjaïa, s’est dit désolé que le premier responsable de la wilaya puisse résider dans de telles conditions et que les élus ne prennent pas en compte cette situation. Pour Yahi Hamid , président de la commission finances de l’APW, l’enveloppe allouée au travaux de rénovation représentent «le financement de 14 logements sociaux». Il convient de noter que le groupe RCD a décidé de se retirer de la session de l’APW de lundi. Dans une déclaration rendue publique, les élus du Rassemblement motivent leur retrait par le «refus du P/APW et les autres élus d’inscrire un point divers à l’ordre du jour de cette session». Par leur geste, ils entendent dénoncer la gestion chaotique de la wilaya et prendre à témoin la population de la wilaya. Entre autres points soumis à débat dans le point divers par les élus du RCD, «l’ouverture d’un débat général sur la gestion de la wilaya, l’interpellation du wali sur les accusations déballées dans certains quotidiens et l’orientation massive des nouveaux bacheliers vers les autres universités et les retards cumulés dans le développement de la wilaya», lit-on dans leur document. Le même groupe signale qu’il demeure «le seul groupe à ne pas disposer de bureau pour recevoir les citoyens, en dépit des demandes incessantes adressées au président de l’APW contrairement aux autres formations politiques représentées à l’APW (FLN, RND et le FFS)». Des accusations que réfute le premier responsable de l’APW, affirmant que l’ordre du jour de la session a été décidé en «commun accord avec l’ensemble des chefs de groupe des partis représentés à l’APW».
    A. K.

  13. Les retraités refusent de battre en… retraite
    Par : Mustapha BENSADI (Liberté du 19/12/2011 )
    “Nous allons cesser de rester les bras croisés, à nous morfondre sur les bancs publics, nous ne voulons plus être le citron qu’on a pressé et qu’on jette…”
    Voilà, en substance, le message délivré à l’adresse des pouvoirs publics, émanant d’une toute récente rencontre de retraités à Béjaïa, dans un local sis à la mythique rue du… Vieillard.
    En fait, d’autres rencontres, nombreuses et sporadiques, avaient déjà eu lieu dans des quartiers, des cafés et autres endroits. Improvisées, tout à fait informelles. Tout à fait compréhensibles du fait que les retraités, notamment les plus défavorisés, soient éparpillés et ne disposant pas d’une association (du moins en ce qui concerne la wilaya de Béjaïa) dûment structurée, monolithique, et encore moins d’un local qui leur aurait été affecté dans la perspective d’un besoin de se réunir périodiquement et de se concerter à propos de questions qui concerneraient leur statut et autres aspects sociaux relatifs à leur condition.
    Le Snapap-Béjaïa, ayant “ouvert” en son sein une structure chargée de “gérer” les doléances des retraités, tous statuts confondus, les a même appelés récemment, par le biais d’affichage public, à “se mobiliser autour de leurs légitimes revendications, alors que les barons de l’import-import sont les choyés du système.” Les revendications se suivent et ne se ressemblent pas, mais celle qui est lancinante et prend de l’ampleur est le vœu de voir les pouvoirs publics accorder la validation des deux années du service national aux retraités de la proportionnelle.
    De toute évidence, le dénominateur commun des aspirations des petites retraites demeure l’annonce, par le gouvernement, de l’officialisation de cette augmentation appelée “fourchette entre 40 et 60%”. Mais surgissent, ensuite, des revendications “spécifiques”.
    Dont la validation des deux années (24 mois, sinon plus, quand il y a eu rappel sous les drapeaux), du service national pour cette catégorie de retraités qui en sont privés, frustrés, à savoir ceux qui sont partis en retraite proportionnelle. “Il est, pour le moins, inconcevable que les retraités sortis après 32 années de service bénéficient de cet avantage consistant en la validation des deux années du service national et qui entrent par conséquent dans le calcul des années de cotisations dès qu’ils ont 60 ans révolus et que ceux qui sont partis en retraite proportionnelle en soient frustrés.
    Cette disposition textuelle, non seulement n’obéit à aucune logique, mais elle est même sadiquement paradoxale en ce sens qu’il est évident que ce sont davantage les « proportionnels », dont les pensions sont amoindries, qui en ont le plus besoin ! L’on ne cesse de faire savoir que la plupart des retraités de l’éducation nationale, en particulier, pensaient faire acte de solidarité, de compréhension, d’honnêteté intellectuelle et, enfin, de patriotisme en décidant de partir en retraite proportionnelle, un “produit” proposé, à l’époque (fin des années 1990/2000) avec force publicité par les pouvoirs publics. Il s’agissait de céder nos places aux jeunes licenciés et autres ingénieurs. Finalement, il s’est avéré que ce n’était qu’un leurre, dès lors que ladite “formule” omettait d’avertir clairement que le retraité à la proportionnelle n’allait pas bénéficier de l’inclusion des deux années du service national à 60 ans dans le re-calcul de la pension de retraite.”
    Il ressort, à travers leurs divers conciliabules (mais dont les décisions saillantes finissent par converger et faire consensus), qu’en tout état de cause les retraités de l’éducation nationale, en particulier, “appréhendent puissamment et franchement des intentions de désolidarisation prêtées aux syndicats autonomes (Cla, Cnapest, Unpef, SNTE…) quant à leur sort à propos d’une retraite après 25 ans de service que viendrait, éventuellement, à accorder Benbouzid”, comprendre par là que cet acquis potentiel à venir devrait également les concerner (retraités de l’éducation) et avec effet rétroactif.
    M. B

  14. Bonjour aux El-Flayois et à tous ceux qui sont intéressés par nos soucis, nos problèmes …
    Suite à nos interventions sur les logements sociaux à El-Flaye, je remercie la personne qui a mis sur ce site l’article paru sur Le Soir D’Algérie le 15/12/2011. Notre sujet est d’actualité et cet article vient le conforter !
    Il va donc de soi d’analyser les infos qui y sont véhiculées :
    A- Dès les premières lectures on se rend compte que cela appuie mon raisonnement, à savoir que la structure algérienne est une succession de chaînes, si vous me permettez cette métaphore. Ces chaînes ont comme composition des maillons faibles. En l’occurrence il s’agit ici carrément d’une chaîne faible : La Dlep de Béjaia, Mr Le Wali… L’envergure est grande, l’incompétence en est autant !
    B- On observe 2 parties dans cet article :
    1- La première concerne les problèmes liés à l’enseignement supérieur. Alors, bien sûr que cela nous regarde, c’est l’avenir de tous nos jeunes. Oui c’est désespérant, quand on regarde tout : le retard que cela prend, la non prise en compte du nombre et du besoin des étudiants, la male gérance… Cependant ce n’est pas notre sujet de discussion. On va s’éloigner de la première question posée, ce qui nous ramène à ce qui suit.
    2- La deuxième partie concerne donc l’examen du budget primitif (non définitif) alloué pour le fonctionnement et pour les dépenses relatives à l’équipement entre autre les subventions aux communes.
    Il est au total, si on arrondit, de 4 000 000 000 Da, mais
    a- Si on fait un petit calcule simplifié, en choisissant arbitrairement un pourcentage alloué aux communes disant de 5% en moyenne (ce qui n’est absolument pas vrai, cela sera trop géniale !), on arrivera à 200 000 000 Da. Ensuite si on divise par le nombre de communes que compte la wilaya on obtient :
    200 000 000 / 50 = 4 000 000 Da c’est l’équivalent de 1,5 logement social
    Il est donc à constater que c’est une somme dérisoire et ridicule.
    b- Ce qui me choque, à chaque fois, c’est cette espèce d’anarchie, de désordre entre les élus et les responsables qui n’arrivent jamais à se mettre d’accord sur rien. L’APW n’est pas d’accord avec le Wali. Au sein même de l’APW, une formation politique se retire de la session. Mais quand est ce que tout cela va s’améliorer ?
    c- En fin je leurs envois un message si jamais ils passaient par là : soyez sérieux messieurs, prenez compte les besoins réels des citoyens, de l’argent le gouvernement est plein aux as, faites pression sur lui 

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