Appel à projet : CRÉATION D’UN CENTRE POUR HANDICAPÉS

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101069075Nous faisons appel à tous les jeunes entre 20 et 35 ans (homme ou femme), ambitieux, qui en ont assez de rester à attendre les bras croisés, à SE MANIFESTER et se lancer dans une aventure qui, nous vous le promettons, sera pleine de rebondissements.
Présentez-vous à ce projet pour le rendre réel et pour le concrétiser !
Cet appel fait suite à celui de Mr AGSOUS Abdenour (Tél : 07 92 46 25), DIRECTEUR GENERAL de L’ASSOCIATION D’AIDE AUX INADAPTES MENTAUX DE BEJAIA par abréviation AAIMB (Voir article du 26-12-2012 sur ce site (leflaye.net.)) :
A TOUS NOS AMIS D’EL FLAYE-TINEBDAR-TIBANE-SOUK OUFELLA-CHEMINI
AU VU DU NOMBRE IMPORTANT D’HANDICAPES EXISTANTS DANS NOS CHERES COMMUNES, JE VOUS PROPOSE UN SUJET DE REFLEXION: CREATION D’UN CENTRE POUR HANDICAPES COMMUN A TOUTES CES COMMUNES.
Nous serons nombreux à vous aider !
Vous ne serez pas seuls, pas du tout !
Mr AGSOUS Abdenour et toute l’association AAIMB sont déjà disponibles pour vous accompagner le temps qu’il faudra à la création de la future association. Ils nous donnent leur parole.
Sans oublier qu’ils ont déjà une importante expérience en la matière. Pour illustrer cela je vous rappelle 3 chiffres primordiaux :
3 grands centres (enfants, adolescents et adultes)
Total personnel : 76 personnes
Total personnes prises en charges : 206 personnes
Enfin ils nous aideront avec un immense plaisir (je cite Mr AGSOUS : « JE SERAI HEUREUX DE VOIR NAITRE CETTE ASSOCIATION INTERCOMMUNALE POUR LA PRISE EN CHARGE DE NOS CONCITOYENS. »)
Le collectif d’El-Flaye sera plus qu’heureux d’aider du mieux qu’il peut, que ce soit financièrement ou autrement. Nous serons derrière vous, c’est même un devoir de citoyen.
L’APC. La nouvelle équipe communale a promis durant toute sa compagne d’aider le maximum possible les jeunes, surtout ceux qui veulent créer une association. C’est le moment où jamais de montrer qu’elle tiendra parole.
Les parents et les familles des handicapés ! Inutile de vous dire qu’ils seront aussi avec vous dans ce projet. Dieu sait à quel point cela les rendra heureux de savoir que leur enfant sera pris en charge par des personnes chaleureuses et humaines !
Les citoyens de toutes les communes citées en haut seront, j’en suis certain, également derrière vous car ce sera un projet des plus nobles qu’on puisse faire.
De nombreux financements !
Des subventions APC et APW
Le collectif d’El-Flaye
Des dons de bienfaiteurs
Des frais de séjours CNAS
Cela représentera des millions.
Bien sûr, l’association AAIMB nous aidera dans toutes les démarches ainsi que la procédure administrative !
Conditions requises!
Une bonne dose de volonté
Retrousser ses manches
Croire au changement et saisir cette opportunité sans plus tarder
Se manifester même si vous ne savez pas par quoi commencer.
Le handicap !
Le handicap : sommes-nous toujours aussi incapables de penser aussi loin ?
S’occuper de nos handicapés : les mettre à contribution dans la société, rendez-vous compte de ce que cela représente ?
Leurs permettre d’être utiles. De se sentir humains. Car un homme ne se définit pas par sa force, il est trop faible. Un humain se définit par sa pensée et par le cœur qui lui permet d’avoir des sentiments, de l’amour et de la fraternité.
Ces gens-là n’ont donc pas le droit d’avoir rien qu’une petite place parmi nous ?
Un moment dans la semaine !
Une petite heure, mélangés avec nous à faire autre chose que leur banal quotidien ! Alors trouvons le moyen de les extirper pour leur faire vivre des activités, pour qu’ils se sentent entourés et aimés.
C’est trop demandé ?
Pourquoi pas ?
Annexe !
Attention : Texte très technique, c’est juste pour info !
Laisser-moi vous faire partager un extrait du discours d’un imminent généticien qui veut nous alerter sur les dérives du pouvoir et de la société qui veulent imposer à la génétique de faire des choix inhumains !
Le gène peut-il définir un humain ?
Le diagnostic prénatal pour déterminer des anomalies génétiques n’est-il pas un moyens pour faire de l’eugénisme ?
Les handicapés ont-ils une place parmi nous ?
Voici donc l’extrait du discours du Professeur Mattei(*) que j’ai beaucoup réduit (très long) :
« C’est sur ces questions que je voudrais centrer mon propos.
1 – Tout d’abord, Identifier et apprécier la qualité des gènes.
Il aura fallu des millénaires pour que, patiemment, de l’algue bleue à Homo sapiens, la génétique tende le fil d’ADN qui, par l’universalité de son code, assure l’unité du monde vivant.
… Alors, je repose la question fondamentale : « La qualité d’une personne humaine dépend-elle vraiment de la qualité de ses gènes ? »
… Je constate, aujourd’hui, que ma distinction initiale entre démarche individuelle et stratégie collective est devenue fragile. Car, en réalité, lorsque plus de 95% des couples font le choix de l’interruption de la grossesse pour la trisomie 21, c’est l’addition de tous ces choix individuels qui dessine les contours de notre société dont force est de constater qu’elle est déjà largement imprégnée d’eugénisme…
En dehors de cette idéologie prométhéenne, on peut invoquer toute une série d’explications pour ce choix implicite de notre société, telles que la vie difficile, les familles réduites, le regard des autres, la perte du lien social, les coûts de prise en charge, l’absence de solidarité suffisante pour accompagner les personnes handicapées et la défaillance des Etats. Mais les faits sont là, qu’on l’admette ou qu’on le refuse, nous sommes bien dans une société eugénique où règne un idéal de performance.
Alors, que faire ? Il faut certainement éveiller les consciences mais la tâche est immense et le résultat incertain. Car nous sommes désormais devant le choix d’une société toute entière qui esquisse peu à peu le projet collectif de naissances sans handicap prévisible ou prédictible. Le consensus tacite semble ainsi établi qu’un enfant porteur d’une trisomie 21 ou 18 n’a pas vocation à naître.
2 – La première raison de s’interroger réside dans le fait que l’homme n’est pas réductible à son seul ADN.
Ainsi, c’est bien la culture qui singularise l’homme au sein du règne animal et lui permet de poursuivre son aventure humaine. C’est un être à part capable de transcender sa condition immédiate par la créativité de son esprit. Mais c’est en outre un être qui ne s’humanise pas seul. Nous sommes humanisés par l’humanité des autres, ce qui nous permet de nous civiliser. Et la variété infinie de civilisations vient encore conforter l’idée selon laquelle l’homme est un animal irréductible à son génome.
En pareils cas, survivre est le plus souvent possible, mais ensuite il reste à vivre. Que faire pour de tels patients souffrant irrémédiablement d’un handicap mental ? On reste interdit, face à l’impensable, face à l’un des pires malheurs qui puissent survenir. Ensuite, lorsque la réflexion se poursuit, on se dit qu’au-delà de la part d’humanité irréfragable, ces enfants sont peut-être là pour nous questionner, pour nous désarmer en quelque sorte. Ils nous poussent à nous demander ce que nous voulons, ce que nous sommes prêts à faire pour aider parents, fratrie, famille. Quelqu’un qui, apparemment, n’a pas une place évidente dans la communauté des hommes, compte-t-il pour nous ?
Peut-être que si ces personnes handicapées n’étaient pas là, nous ne réfléchirions que de façon superficielle au sens de la vie, à la vanité de l’agitation des passions humaines ? Nous ramener à la vulnérabilité de notre condition, cela pourrait être le sens de la présence de ces êtres si différents de nous et pourtant humains comme nous. Leur solitude serait le miroir grossissant de la nôtre.
Cela rejoindrait l’idée d’un « projet d’humanité » car ces enfants nous mettent face à nous-mêmes. Peut-être nous parlent-ils à leur manière, même quand ils ne savent pas parler. Leur message serait : « Que voulez-vous faire de l’extrême faiblesse ? Me donnez-vous la possibilité d’être malgré tout ?  »
L’émotion qu’ils suscitent alors réveille en nous notre attachement à certaines valeurs dont la société a besoin pour rester fraternelle. Le non-sens n’est pas complet.
Je reconnais bien volontiers que c’est une prise de risque métaphysique de dire cela car, de fait, ces enfants posent des questions métaphysiques. En ce sens, ils nous conduisent à nous questionner sur l’éventualité ou non d’une « transcendance ». On sait, presque depuis toujours, mais surtout depuis Kant que la question ne peut être tranchée, mais on peut ressentir profondément que ces enfants nous contraignent à nous la poser. Est-il alors permis d’imaginer que ce qui fait l’humanité de l’homme ne dépend pas seulement de sa matérialité ?
C’est peut-être ainsi que ces enfants participent au projet de notre humanité. Ici, je voudrais vous citer la tranquille observation de Ryadh Sallem, triple champion de basket en fauteuil roulant : « Tant qu’il y aura des trisomiques, on sera encore des êtres humains. ». Victime du thalidomide et sans membres inférieurs, il rappelle combien tout handicap est contextuel. Vivant dans sa jeunesse dans un Institut spécialisé, les enfants trisomiques étaient alors les valides du lieu capables d’attraper les objets qu’il ne pouvait atteindre. Aujourd’hui, il les accueille dans son association sportive pour personnes valides et invalides où ils tiennent toute leur place.
Vous le voyez, l’homme n’est pas réductible à son ADN, et il a, en outre, une autre raison d’espérer.
3 – Ce sont les perspectives thérapeutiques qui nous permettent d’espérer.
En effet, que l’homme ne soit pas réductible à son seul ADN ne signifie pas qu’il faille renoncer à combattre les affections génétiques. Bien au contraire ! Je suis convaincu que la génétique a, d’abord et avant tout, comme son appartenance à la médecine le souligne, la vocation de soigner et guérir.
Là, doivent se concentrer tous ses efforts et toutes ses forces vives ;
Là, doit s’exprimer son acharnement.
Rien ne saurait résister au génie humain, toute l’histoire de la médecine le montre. Ce défi est fait pour être gagné. Et il le sera.
… Dix ans après, en 2004, le débat se focalisait sur les cellules embryonnaires et le clonage dit « thérapeutique ». Les premières cellules souches d’origine somatique balbutiaient.
En 2011, la question du clonage « dit thérapeutique » était déjà obsolète. Enfin, si les cellules souches embryonnaires ne peuvent, pour l’heure, être délaissées, on peut penser qu’elles seront rapidement supplantées par les cellules souches pluripotentes induites ou cellules iPS d’origine somatique. Depuis les travaux de Yamanaka au Japon, en 2007, ces cellules sont apparues dans le champ de la thérapie à la manière d’un formidable espoir. Certes, l’efficacité devra être confirmée, les obstacles pratiques devront être levés et l’oncogénicité potentielle éliminée, mais les premiers succès sont là. S’ils sont validés, alors la thérapie cellulaire associée à la thérapie génique transformera le pronostic de nombre de maladies incurables, d’origine génétique et même d’autres …
Enfin, la troisième voie pharmacologique qui s’ouvre est un retour aux sources de la thérapeutique médicale. Elle a sans doute été délaissée, à tort, du fait du mirage des biothérapies et de la méconnaissance des mécanismes physiopathologiques intimes. Il est vrai que nous raisonnions jusque-là sur l’idée monolithique de l’expression invariable d’une même séquence codante. Nous savons désormais que ce n’est pas toujours la règle, que des protéines peuvent réguler l’expression tout comme la modification post-traductionnelle des histones et la méthylation de l’ADN. La connaissance des mécanismes physiopathologiques et les possibilités de criblage pharmacologique à haut débit sur des modèles cellulaires ou vivants, conduisent aujourd’hui à un net regain d’intérêt pour des traitements plus conventionnels tous azimuts visant à agir tantôt sur l’ADN lui-même, tantôt sur les protéines, tantôt sur les récepteurs ou plus généralement sur le milieu intérieur.
On reconnait les voies d’une pharmacologie renouvelée. Nous avons tous en mémoire le régime pauvre en phénylalanine qui permet d’éviter les troubles neuropsychiatriques de la phénylcétonurie. On connait aussi certaines thérapies enzymatiques substitutives dans des maladies métaboliques de plus en plus nombreuses.
Quant au cas particulier de la Progeria, j’en dirai seulement qu’elle est au centre d’un essai clinique dont Nicolas Lévy et son équipe parleront beaucoup plus savamment que moi.
Face à ces espoirs formidables de traitement, je ne peux m’empêcher de penser que décidément, la solution reste bien dans l’avènement de solutions thérapeutiques. C’est rassurant s’agissant de médecine.
Conclusion
Pour conclure, je voudrais rejoindre Montaigne lorsqu’il écrit : « Tout homme porte en lui la forme entière de l’humaine condition ». Cela ne signifie pas que tous les hommes se valent, mais qu’ils sont tous humains et méritent par là notre respect. Ils ne sont pas égaux en fait et en valeur, ce que l’expérience suffit à démontrer, mais ils le sont en droit et dignité, si nous le voulons.
Ce qui apparait clairement, me semble-t-il, c’est qu’au vu des progrès que nous avons évoqués, nos sociétés, de même qu’elles s’efforcent de lutter contre les inégalités sociales devront assumer les inégalités génétiques. Il n’est, en effet, pas acceptable, au nom de l’élémentaire solidarité, que des êtres humains aient à supporter des discriminations sociales du fait de gènes défaillants qu’ils auraient reçus en héritage.
Vous l’avez compris, je ne m’oppose aucunement au diagnostic prénatal, mais je pense qu’il change radicalement de nature en fonction de l’intentionnalité :
soit une démarche personnalisée pour une femme enceinte ou un couple dans la difficulté et j’en assume dès lors, en conscience, toutes les conséquences ;
soit une démarche systématique et anonyme visant l’éradication de maladies par la suppression des malades. Cela, toujours en conscience, je ne peux m’y résoudre.
Je sais qu’il n’y a pas de choix éthiques sans tension morale, parfois aux limites même de l’insupportable. Mais au moment où je m’en vais, je souhaite vous mettre en garde contre toute démarche systématique et populationnelle. L’avènement de traitements est la seule solution, c’est elle qui est la plus humaine. Ce n’est pas au moment où les espoirs de guérison n’apparaissent plus comme une utopie inatteignable qu’il faut presser le pas dans les techniques de dépistage prénatal. Nous ne pouvons pas prendre le risque que la thérapeutique soit par avance dépassée par une habitude installée dont on voit se dessiner les contours.
La génétique y perdrait sa noblesse et la société y perdrait beaucoup de son humanité.
C’est pourquoi je vous le demande instamment, mettez tous vos efforts au service des traitements destinés aux maladies génétiques. C’est cela qui correspond à la vocation médicale. C’est cela préparer un avenir plus humain, plus fraternel et plus solidaire.
Nous vivons ce que peu de personnes autour de nous ont l’opportunité de connaître. Ensemble, nous tentons de comprendre les mécanismes de la vie entre destin et volonté. Nous ne cesserons jamais de nous poser les mêmes questions. Nous aurons toujours besoin d’une grande humilité. Quelques soient les obstacles et les doutes, nous percevons les formidables défis qui se dressent.
Mais qu’est-ce qu’une vie sans défi ?
C’est parce que je crois profondément au sens de notre action bien pensée que si c’était à refaire, c’est encore la génétique que je choisirai. Je compte sur vous pour poursuivre le chemin. Vous portez tous mes espoirs. »
(*) Quelques renseignements :
Jean-François Mattei est professeur de pédiatrie et de génétique médicale. Il a assuré les fonctions de Directeur d’un département de génétique au CHU de Marseille et a été membre du Comité consultatif national d’éthique jusqu’en 1997. Il est membre titulaire de l’Académie nationale de médecine depuis juin 2000. Actuellement, il est conseiller d’État en service extraordinaire depuis 2005 et Président de la Croix-Rouge française.
Le 4 décembre 1989, il est élu député de la 2e circonscription des Bouches-du-Rhône à la faveur d’une élection partielle, afin de remplacer Jean-Claude Gaudin, élu au Sénat.
Il fut réélu en 1993, 1997 et 2002.
Son activité parlementaire étant principalement tournée vers la médecine et l’innovation technologique médicale. Ainsi, en plus de siéger à la commission des Affaires culturelles, sociales et familiales (désormais commission des Affaires sociales), il a été membre de la commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique, membre de la mission d’information commune préparatoire au projet de loi de révision des « lois bioéthiques » et président du groupe d’études sur les applications des biotechnologies en génétique et problèmes éthiques à l’Assemblée nationale.
Il détient également un mandat de conseiller municipal de Marseille depuis 1983, et un de conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il a également été conseiller général entre 1985 et 1988.
Membre de l’Union pour la démocratie française (UDF), il rejoint tout d’abord le Parti populaire pour la démocratie française (UDF-PPDF) du ministre des Affaires étrangères Hervé de Charette, avant de rallier Alain Madelin et Démocratie libérale (DL).
Il est élu président du groupe parlementaire Démocratie libérale et Indépendants (DLI), scindé de l’UDF, à sa création en octobre 2000.
Par la suite, il adhère à l’Union pour un mouvement populaire (UMP).
Le 7 mai 2002, deux jours après la réélection de Jacques Chirac à la présidence, Jean-François Mattei est nommé ministre de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées dans le premier gouvernement dirigé par Jean-Pierre Raffarin.
Il est réélu député lors des élections législatives de juin 2002, mais doit démissionner suite à sa confirmation dans le deuxième cabinet Raffarin.
Il est finalement remercié le 31 mars 2004, lors de la formation du troisième gouvernement Raffarin.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Mattei

5 thoughts on “Appel à projet : CRÉATION D’UN CENTRE POUR HANDICAPÉS

  1. Azul fellawoun
    Nous avons parlé de progrès il y a de cela quelques semaines! Je vous propose de partager avec vous cette idée moderne qu’utilise les USA et La France pour bouster la création d’une projet et sa concrétisation!
    Il s’agit du:
    Financement participatif ou « crowdfunding » sur le web
    La source: http://www.commentcamarche.net/faq/32649-le-financement-participatif-ou-crowdfunding-sur-le-web
    Sur YouTube: http://www.youtube.com/watch?v=RUkCqqbfoy4
    AIDONS LA CREATION DE CE CENTRE POUR HANDICAPES!
    IL suffit de taper ces mots (financement participatif) pour trouver tous les liens vers de plus amples explications!
    Voici une petite introduction, mais mon but c’est d’imaginer qu’on puisse utiliser ce système pour aider la création du centre pour handicapés!!!
    Introduction:
    Les bonnes idées ne se transforment pas toujours en projets… Faute d’investisseurs, de nombreux porteurs de projets de tous secteurs (high-tech, e-commerce, création artistique) ne peuvent franchir le pas de l’entrepreneuriat, ou plus modestement, concrétiser une idée « innovante ». Pour pallier cette difficulté et aider les indépendants, startups ou encore les associations à se lancer, les plateformes de financement participatif -ou de « crowdfuding -» ont essaimé sur le web depuis le succès de « Kickstarter », l’un des précurseurs dans ce domaine. Qu’est-ce que le crowdfunding ? Quels sont les avantages de ce procédé ? Notre éclairage, avec une liste de plateformes accessibles pour les porteurs de projets, quelque soit leur secteur d’activité.
    1.Qu’est-ce que le crowdfunding ?
    2.Le financement participatif : pour qui?
    3.Les avantages du crowdfunding sur internet
    4.Les montants investis par les participants
    ….
    6.A lire aussi: Financement participatif
    Qu’est-ce que le crowdfunding ?
    Le crowdfunding, ou « financement participatif », est une méthode qui s’appuie sur les réseaux sociaux et les plateformes communautaires sur le web. Elle permet à un entrepreneur (au sens large) de financer le lancement/la mise en oeuvre de son projet, grâce aux apports financiers individuels de « participants » convaincus par l’intérêt dudit projet.
    Selon la nature du projet et la plateforme, plusieurs types de contre-parties sont proposées aux investisseurs : remboursement avec intérêt sur le prêt initial, perception d’un pourcentage des bénéfices une fois que le projet est sur pied, ou plus simplement des services ou produits liés au projet (ex : bons d’achats, invitations à des événements, exemplaires d’une production littéraire, CD, etc.).
    Les initiatives privées (création de start-up) peuvent s’appuyer sur le crowdfunding (via des plateformes spécialisées) pour trouver des sources alternatives/complémentaires aux formes d’investissements classiques (ex : société de capital-risques, banque), dans le cadre d’une levée de fonds par exemple.
    Le financement participatif : pour qui?
    Les plateformes de financement participatif hébergent des projets correspondant aux activités et secteurs suivants (certaines étant spécialisées) : •Activités de création (design, arts, musique, projets cinématographiques)
    •High-Tech et E-commerce (plus particulièrement les concepts d’e-boutique innovants)
    •Web (développement d’applications, réseaux sociaux thématiques)
    •Mode
    •Sport
    •Edition (presse, presse en ligne, bandes dessinées, documentaires etc.)
    •Services innovants aux personnes
    •Projets associatifs et à vocation sociale ou humanitaire
    •Voyages
    •Environnement
    Dans tous les cas, les critères de sélection de projets se fondent généralement sur trois critères :
    – Leur caractère innovant
    – Leur utilité
    – Leur aspect collectif ou « communautaire » (pouvant bénéficier au plus grand nombreux)
    – Leur description, qui doit être très complète
    Les avantages du crowdfunding sur internet
    Pour les porteurs de projets : •Investissements pas ou peu coûteux (intérêts faibles pour les prêts)
    •Droit à l’erreur : les projets qui « échouent » (généralement par manque d’internautes « financeurs ») peuvent être recommencés (en modifiant le descriptif, ou le business plan s’il y a lieu)
    •Accès direct à une communautés impliquée dans le processus de création (ce qui facilite la recherche de prospects, permet d’obtenir des recommandations, etc.). Le marketing peut donc débuter avant la mise en oeuvre réelle du projet (ex : mise en place d’une campagne de « story-telling » pour tenir les internautes informés de la maturation du projet)
    •Le support web pré-existant permet de relayer son projet transversalement sur les réseaux sociaux (Fan Page Facebook, Twitter).
    •Possibilité de financer des « side projects » (projets parallèles) liés à un projet plus global.
    Pour les investisseurs :
    •Pas de risque si le projet n’est pas collectivement soutenu (celui-ci n’est validé que sur la base d’un montant global atteint, qui est la somme des apports individuels).
    •Possibilité de diversifier ses initiatives de soutien à des projets innovants
    •Investissement dans des actifs non liés aux marchés financiers
    •Le projet étant « co-produit » avec d’autres internautes investisseurs, il est (en principe) possible de suivre de manière transparente son évolution. Un risque existe néanmoins que le projet échoue après la collecte des fonds (sachant que le capital investi peut être faible, il est fixé par chaque participant)
    •Certaines plateformes (soutien aux startups) mettent en place des outils de reporting permettant aux entreprises de donner des informations aux investisseurs ayant décidé de les soutenir.
    •Grande variété de contre-parties généralement corrélées au montant de l’investissement (intérêts, services, etc.)
    Les montants investis par les participants
    Il sont très variables et modulables, selon le dimensionnement de chaque projet et les plateformes les hébergeant.
    Les participations minimales commencent à partir de quelques dizaines d’euros, sachant qu’il est possible de financer des projets à hauteur de plusieurs milliers d’euros.
    AIDONS LA CREATION DE CE CENTRE POUR HANDICAPES!
    Merci

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