Que ce soit en plein centre-ville de Bgayet, au niveau de certaines artères de Tazmalt, Sidi Aïch, Aokas ou à proximité du deuxième arrêt de bus de la ville de Tichy. Plusieurs trous sont restés à ciel ouvert, constituant un danger permanent aux piétons et aux automobilistes. Une série de questionnement vient tarauder les méninges du citoyen qui s’interroge sur cette soudaine absence de tampons. “Je suis convaincu que ce sont les revendeurs de déchets de ferraille qui les ont pris”, dira un citoyen béjaoui.
On s’aperçoit depuis quelque temps que les avaloirs et les bouches des réseaux d’assainissement réalisés sur les rues, ruelles et trottoirs des communes de la wilaya de Bgayet sont dépourvus de couvercles de protection comme si une main est passée par-là, pour les enlever sans que les services compétents, ne s’en aperçoivent et ne pensent, d’ailleurs, à les remplacer.
Le risque de trébucher et de tomber dans une bouche d’égout ou un avaloir est presque permanent au niveau de toutes les artères des communes de la wilaya de Bgayet. Ce danger est plus grand pour les automobilistes car ne pouvant voir l’absence des tampons servant de couvercles à ces trous dont dans leur majorité, sont béants.
Que ce soit en plein centre-ville de Bgayet, au niveau de certaines artères de Tazmalt, Sidi Aïch, Aokas ou à proximité du deuxième arrêt de bus de la ville de Tichy. Plusieurs trous sont restés à ciel ouvert, constituant un danger permanent aux piétons et aux automobilistes.
Une série de questionnement vient tarauder les méninges du citoyen qui s’interroge sur cette soudaine absence de tampons. “Je suis convaincu que ce sont les revendeurs de déchets de ferraille qui les ont pris”, dira un citoyen béjaoui.
C’est une accusation sans fondement dite sous l’effet de la colère, car nous n’avons pas eu connaissance d’un tel forfait car si c’était le cas, les services des communes ou de la direction des travaux publics auraient déposé plainte. Certes, certains couvercles ont été écrasés par les véhicules de gros tonnage mais d’autres ont été apparemment volés, et il est clair, qu’ils ont été subtilisés. Sinon comment expliquer cette soudaine absence de tampons à travers plusieurs contrées de la région. Quoi qu’il en soit, pourquoi les services habilités n’ont pas pourvu à cette carence ? Il y a assurément beaucoup d’unités de fabrication de ce genre de tampons et de grilles de protection. Alors pourquoi un tel retard ? Et cela afin d’éviter d’éventuels accidents qui peuvent s’avérer très préjudiciables aux citoyens ? Est-ce une négligence ou une pénurie du produit ? La question reste posée.
A. Gana
04 11 2010
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