COMMUNIQUE: Le collectif d’EL FLAYE – France

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80 personnes ont participé à la collecte à raison de 20 euros.
TOTAL DE LA COLLECTE = 1600 euros .
Cette somme est répartie comme suit:
1- Achat pour le village:3 Tables,6 bancs et guirlandes(260 E).
2- Achat pour la bibliothèque d’El flaye:lécteur code barre(115 E).
3- Ouverture d’un compte CCP: fond de rapatriement(1225 E ).
Et suite au décès de Mohand Souffelah,une cotisation d’urgence a été organisée
pour rapatrier la dépouille: 1100 euros.
4- rapatriement de la dépouille = pompes funèbres(2100 E).
– Collecte + cotisation d’urgence : 1600 + 1100 = 2700 Euros.
– Dépenses: 260 + 115 + 2100 = 2475 euros.
Somme restante sur notre compte CCP : 225 euros .
Le collectif d’EL FLAYE
– Hocine Kaci : 06 76 72 02 32 .

– Mahmoud Rahmani: 06 89 79 08 32 .
– Mourad Idir : 06 50 10 41 23 .
.

16 thoughts on “COMMUNIQUE: Le collectif d’EL FLAYE – France

  1. bravo les gens d’El flaye. bravo les jeunes. le mot solidaité devient realité, comme disait rabah inaslyen. un elent de solidarité formidable, car vous portez tous thadarth dans votre coeur. merci 2961 fois pour vous tous en ce jour de yennayer, et assegas amegas a tous.

  2. L’acte vaut mille discours. Chapeau-bas, pour cette initiative ! Mais, ne nous oubliez pas, les gars. Les gens de leflaye ne sont pas qu’à Paris, alors, faites-nous signe, qu’on puisse tous y contribuer. On ne meurt pas de faire un don de 20 euros , voyons !!! Je suis pour renouveler cette opération dès que possible et m’engage personnellement, à faire cotiser dix personnes. Merci à vous.
    Salutations

    1. Azul, de la part de Chrif Oudjaï
      J’aimerai bien savoir de quel Tahar il s’agit. Sur ce même site, vous trouverez toutes les informations sur l’association « solidarité leflaye ». Je me demande pourquoi vous (les gens de Leflaye et autres) ne réagissez pas. L’association a déjà financé 90 cartables au profit des enfants issus des familles pauvres.
      Mais aussi, elle a aidé financièrement entre 1000 et 5000 D.A quelques familles pauvres de notre village.
      Une collègue m’a même donné 100 euros! Très rares sont ceux qui ont donné.
      J’attends de vous également des idées ainsi que le repérage des personnes et familles nécessiteuses.
      Je compte sur toi et les autres pour faire un geste.
      Je suis joignable à l’adresse suivante: yann.djail@pole-emploi.fr (la seule messagerie que je consulte régulièrement).
      Cordialement.
      Chrif

      1. Azul à chrif,
        Avant tout, je tiens à vous féliciter pour toutes vos initiatives à l’endroit des démunis. Même si tout se discute, il n’est pas question, pour moi de philosopher ici, sur le bien-fondé de telles actions qui sont, tout à l’honneur, de ceux qui ont des pensées pour ces malheureurx.
        Mais, voici qu’une leçon d’un savoir-faire en matière de communication, nous vient de l’APC de Tinebdar qui s’est dotée d’un site internet qui n’a rien à envier aux grandes mairies de France. Je vous invite à le visiter: http://www.tinebdar.com. D’ailleurs, j’exhore la mairie de Leflaye à faire de même. Tout y est…y compris une tribune pour l’opposition. Je ne vous dis pas ça, bêtement, mais il en est ressorti que des aides sociales existent. Tant pour le cartable que pour les fêtes de l’Aïd, etc…
        Or, je ne crois pas que la mairie de Tinebar soit plus riche que celle de Leflaye !!!
        Mais à quoi diable, je veux en venir ? A ceci, tout simplement:
        D’une part, je ne crois pas, pratiquement pas, que l’on puisse résoudre le problème de fond de ces familles qui nécessitent un soutien permanent des services publics. C’est leur rôle et qu’il le jouent !
        Personnellement, je propose un soutien conséquent à l’équipement matériel, de la maison de jeunes, par exemple. ( On peut trouver autre chose). Je suis de ceux qui pensent qu’un gosse de 15 ans, n’a rien à à faire dans un café. Et à cet âge là, c’est une chose tout à fait normale, que de ne pas éprouver du plaisir, à lire un livre. On a besoin de faire une bonne partie de billard ou de ping-pong, de pianauter un clavier de PC, de tripoter une playsation, de vionner un bon match de foot, etc …etc… Ce sont des catalyseurs d’agressivité. Des facteurs de bien-être…
        Savons-nous que le club de volley, à titre d’exemple, a le plus grand mal du monde à financer la tenue de ses joueurs ? Savons-nous, que des dépotoirs naiséabonds, pillulent de moustiques à vous bouffer la chair, transmetteurs, par ailleurs, de maladies mortelles. Connaissons-nous, le désastre que peut provoquer, le moustique-tigre ? Pourquoi, ne pas aider dans ce sens -là ?
        C’est en tout cas, cher chrif, le genre de projets qui me motivent le plus. Ce que vous faites est digne d’intérêt, bien sûr. Mais, ne pouvons-nous pas être un peu plus ambitieux ?
        Quant à ma promesse de faire cotiser une dizaine de personnes, je la tiendrai. Ma devise, même sombre, est la suivante: » Tout peut s’arrêter net, du jour au lendemain, pour chacun d’entre-nous ». Alors,aidons du mieux que nous pouvons. Chacun à son niveau. Chacun selon ses moyens.
        Pour le reste, peu importe de quel Tahar, il s’agit. Dès qu’une initiative est prise pour notre bien commun, je vous contacterai directement, par mail.
        Amicalement.

        1. Azul à Tahar
          Je te remercie pour cette réponse complète et constructive.
          Je souhaiterais quand même savoir qui tu es. Pour prendre un café ou une bière ensemble et approfondir notre pensée. Je suis très mobile.
          Tout se discute effectivement. Il suffit d’avoir la volonté de construire.
          Une touche personnelle: liberté d’esprit et d’initiative (on ne doit pas se borner à respecter les (fausses) traditions, justice sociale, laïcité.
          Cordialement.
          Chrif

  3. A coeur ouvert,
    La pauvreté réduit l’autorité d’un père, traîne la dignité d’une famillle dans la boue. Ca vous brise en deux l’avenir d’un gars et va, dans certains cas, jusqu’à compromettre la réputation d’une malheureuse jeune fille. La pauvreté, n’est pas qu’un mot de circonstance. C’est une malédiction ! Que Dieu me pardonne, on aurait dit que le destin s’acharne sur certaines familles. Quand, je croise dans les rues de notre village, un enfant en haillons, je me dis que non seulement, on n’est pas en 2011, mais qu’il est ridicule de se prétendre en 2961. Alors, je baisse la tête et passe mon chemin. C’est parfois, toute ma fiérté d’appartenir à ce village qui vole en éclats. Nous n’allons pas refaire le monde, bien sûr et il est inutile de chercher loin, le responsable. Seul l’état, qui de surcroît est richissime, a le devoir de parer à ce genre de situations, d’un autre âge. Mais, quand…?
    lLa question qui se pose à ceux qui peuvent donnner « un petit quelque chose » est siimple :
    La vie a-t-elle vraiment un sens, si l’on ne se préoccupe que de nos petites personnes, sans penser à redonner ne serait-ce qu’un sourire à un petit enfant nécéssiteux de notre village dont le seul nom suffisait autrefois, à forcer le respect. Comment diable, en-est-on arrivés là ? La france est fière de ses « restos du coeur »,crées par Coluche, que Dieu l’accueille en son vaste paradis. Pour ceux qui ne savent pas ce que c’est: c ‘est un endroit chaleureux, animé par des bénévoles quI accueillent dans le respect, les gens en difficultés pour leur donner leur part de ration alimentaire. Ce n’est pas l’Etat qui finance qui ces fameux « restos » mais des gens ordinaires qui mettent la main à la poche. Bon nombre d’entre nous immigrés y sommes passés. Alors pourquoi, ne copions-nous pas cette idée, à plus petite échelle ? La mairie de Leflaye subtionnera une partie et en aura à charge la gestion, les gens qui ont les moyens compléteront le reste. Ainsi, les indigents, le panier en main, iront récupérer, discrétement et dignement, une fois par semaine, leur dû. Les produits de première nécéssité suffiront à chauffer la marmite. Ce n’est pas un rêve et rassurez-vous, je ne suis pas poète. Smicard que je suis, je suis prêt à m’acquitter de ma cotisation, régulièrement. Ce n’est pas un appel à la charité et je ne suis pas Coluche. C’est un défi et Chiche !!!
    Mais s’il vous plaît, arrêtons, d’attendre que l’état fasse quelque chose dans ce sens et arrêtons d’attendre lle fameux couffin du ramadhan. Un enfant, ça ne jeûne pas, ça mange tous les jours !!!
    Merci de prendre au sérieux ce commentaire et essayons d’avancer !
    P.S: Seules les propositions concrètes sont les bienvenues. Toutes analyse politique et/ou exhibition de savoir intellectuel, S’ABSTENIR.
    Nous essayons de trouver des idées concrètes et réalisables, pour le reste, ne vous tracassez pas, nous avons tous fait nos quelques « petites » études.
    Signé: Un pauvre qui va un tout petit mieux mais qui n’oubliera jamais d’où il vient, quoi qu’il arrive !

  4. N’exagérons rien, non plus. A lire le commentaire de « leflaynaute », on aurait la chair de poule. Certes, il doit exister encore quelques familles pauvres, comme partout ailleurs mais des enfants en haillons, jamais vu ça, personnellement. Soyons sérieux, enfin! On a même du mal à se garer, tellement il y a de ces grosses bagnoles qui sortent de je ne sais où? ! Qu-est-ce qu’on voit d’autres à El-Flaye ? Des devantures de maisons en pierres taillées, des climatiseurs à tous les balcons, des jeunes sur des motos à 17 briques, des paraboles qui poussent comme des champignons, des portables dernière génération, suspendus aux cous des ados, internet à domicile pour la plupart, des cybercafés pour ceux qui n’en ont pas, des baskets à 30,000 DA, des maisons mise ne vente en centaines de millions, une aide de l’état à la construction rurale pour pas moins de 120,000 DA pour ceux qui ont un bout de terrain. Il existe un filet social, la mairie fait de son mieux pour employer quelques jeunes en contrat déterminé, une très belle école comme on en voit pas souvent en France, etc… Faut-il demander plus ? Oui ! Faut-il aider les plus démunis? Oui ,heureusement !
    Mais arrêtons un peu ?! Lancer l’idée de Coluche à El-Flaye est complétement farfelu !
    Pour moi, la question est très simple. Que ceux qui a ont un peu de coeur pour les gens malheureux, prennent une enveloppe, y glissent un petit billet et la remettent discrétment aux concernés. Ce n’est pas compliqué et inutile de le crier sur tous les blogs.
    Mais , SVP, arrêtons tout ce cinéma !

  5. ERRATUM ! Il fallait lire 1200,000 DA. Même comme ça, je ne suis pas sûr d’avoir bien écris le chiffre.
    Enfin, 120 BRIQUES , quoi !
    Soit enviiront (12000 Euros), c’est quandmême une sacréee somme. Autre chose, (il paraît) qu’on a surpris plus d’une fois des père de famille, soit-disant pauvres dans des « bars ». Et quels bars ??????????
    Ceux qui connaissent « Taghzouyth »m’ont bien compris !
    Salut

  6. chapeau, chapeau .en lisant les noms des initiateurs je n’ai eu aucun doute quant à votre sincérité ,encore une fois merci

  7. —————————L’EPOQUE DE FOUROULOU EST REVOLUE——————————
    Qui peut jurer de ce que sera Leflaye dans cent ans ? Qui détient la vérité vraie sur l’avenir de nos petits-enfants ? Qui est certain qu’émigrer en france aujourd’hui, sera une gageure de réussite pour nos enfants, demain? Qui peut être catégorique que tel domaine d’activité est plus porteur que l’autre ? On s’égosille beaucoup à vanter l’avenir de nouveaux métiers dans le domaine de l’écologie. Et si, les métiers de demain, seraient plutôt dans le nouveau mode de transport dit de « sustentation », que les japonais sont entrain de mettre au point ?
    De la même manière, nos anciens ne pouvaient pas décrypter ce que notre Algérie allait devenir. L’époque était aux idéaux. A la fierté d’être patriote. Au souci majeur de libérer la patrie du joug colonial. On pourrait s’étaler sur plusieurs pages, là-dessus. Je ne serais même pas étonné, s’il l’on m’apprennait, qu’il y ait eu pire.
    Si on pouvait remonter le temps en arrière, d’une cinquante d’années, je n’aurais pas mis 200 dinars pour la totalité d’un hectare de terrain à Bouhadadh encore moins à Takidount, fusse-t-il fertile, pour deux raisons simplettes : D’abord, j’aurais trouvé ça, beaucoup trop étendu à labourer. Ensuite, je me serais demandé qui serait fou pour venir y habiter, un jour !?
    Eh-pourtant …
    De la même façon, nos anciens quelque peu étourdis, ont réagi pareil.
    Parce que des hommes sont tombés au champ d’honneur, un tas de choses qui s’apparente, aujourd’hui à de la réussite relevait du domaine de la trahison, du blasphème et de l’insulte, pour l’époque.
    Tout comme ça l’est, presque aujourd’hui encore , pour Dasse, Ouachir ou Igmir-Izzam. Dans moins de dix ans, un lopin de terre à, Aguamadh Oufella, vaudra une fortune. Pourtant, nous n’y accourrons pas pour acheter. Pis encore, puisque nous tous, savons que ça prendra de la valeur. Pas eux !!!
    Désolé, d’avoir tourné un peu autour du pot. J’aurais pu prendre un raccourci et aller droit au but. Mais, ce n’est pas méchant et en plus, ça fera toujours un peu de lecture aux Leflaynautes qui soit, partageront mon avis, ou penseront que j’ai du temps à perdre. Aucun de ces deux avis, ne me dérangent. J’ai toujours du temps pour des sujets sérieux.
    Pour ne pas perdre le fil de départ, permettez-moi de poursuivre mon raisonnement et de m’improviser
    (une fois n’est pas coutume), le porte-voix de ceux qui aquiescent, en silence, les affres de la pauvreté. Un ami diplômé répondant à une offre d’emploi, s’est rendu à la direction de l’entreprise en question, dans l’espoir d’un appui par le D.G (Qui n’est autre qu’un gars du village avec lequel, nous pensions avoir un bon relationnel). Lorque cet ami, l’apercevant dans un couloir, l’appela, « Monsieur untel, je suis venu pour l’annonce X « . Celui-ci, lui répondit aussi sec: « Nous n’avons pas gardé les vaches ensemble ! ».
    C’est-à dire… ?
    C’est-à-dire qu’à partir du moment où nos hauts cadres (Dieu sait que Leflaye en compte pas mal), ne servent pas les le enfants de leur village; eh-bien moi, j’ai cessé de m’en orgueillir, depuis un moment, déjà.
    Comment voulez-vous aider un(e) pauvre, si ce n’est par l’emploi ? Comment lui redonner l’estime de soi, si ce n’est, en se décarcassant, pour le ou la caser, ne serait-ce que comme planton du jour ou Aaâ-sass »,de nuit ? Comme femme de ménage ou plongeuse dans un réfectoire ? Cela se fait sans voir, dans les régions arabophones. Pourquoi pas, chez nous ? Donner un petit coup de pouce à un pauvre malheureux pour accéder à ses droits fondamentaux. Je n’appelle pas ça, du piston. Du tout, du tout !!!
    Quand en bienséants, certains se défendent par ce motif, ô combien rodé: »Il n’y a aucun poste à pourvoir ». Qu’ils nous disent, par quel miracle arrivent-ils à caser leurs proches immédiats, alors ?!!
    Il n’y a que l’emploi qui préserve des dérives, de la délinquance et son corrollaire. Ce n’est pas d’un cartable ou de 1000 dinars dont un pauvre a besoin. Et s’il en a vraiment besoin, cela devrait être à plein temps. Pas de façon occasionnelle et sporadique. C’est une erreur monumentale avec effet boomerang, que de penser jouir tranquillement de son confort, avec pour voisinage, des crèves-la-dalle. C’est un cas d’école bien connu dans les pays occidentaux. Comment peut-on se plaindre d’une cravaison d’un 4X4, garé sur une place publique ensablée, au nez d’un jeune qui n’a pas de quoi, payer sa foutue boîte de « chemma »?
    Comment voulons-nous, former des cercles comme avant, pour disserter avec brio et dans un bon français, sur la vie politique du pays, sans être, quelques fois, chahutés par de pauvres adolecents arabisés à fond et rejetés de tous ? Comment, peut-on espérer dormir sur nos deux oreilles, lorsque le petit dernier sursaute au rythme de cris et éclats de rires bruyants à 4 heures du matin, par des couches-tard qui n’ont pas leur propre chambre pour rester chez eux et trouver quoi y faire ? La pauvreté, c’est bien plus complexe qu’un petit mot en l’air. Les pauvres, d’aujourd’hui, refusent le sort que la société tente de leur réserver.
    Fort heureusement, ce problème peut avoir, un début de solution mais à ne pas en douter, elle ne viendra jamais d’Alger. Trois paramètres sont à prendre au sérieux par ceux qui rêvent d’un Leflaye serein et paisible:
    1-Entraide et générosité:
    -Que celui qui a le moindre moyen de « pistonner », de jeunes pauvres, en âge légal de travailler, le fasse.
    (Prétexter qu’ils ne veulent pas travailler parce qu’ils ont refusé de décharger un camion de parpaings ou de creuser des fouilles, pendant 6 jours, 32 minutes et 3 secondes, n’est pas un argument crédible ; pas plus qu’il ne s’agit là, d’un vrai travail)
    -Ne pas jalouser un indigent qui trime pour monter une piaule. Une brouette par ci , une échelle par là , un sert-joint, un sac de ciment, un peu de sable…tout lui est utile. (Un voisin qui s’en sort redevient aimable et aimant )
    -C’est l’Aïd Amokrane, Al-hamdou-lillah, untel a les moyens d’égorger un bon mouton. Qu’il fasse un geste à son voisin dont les enfants n’ont peut-être pas goûté un morceau de viande depuis des mois.
    -C’est l’Aïd-Amziane Agg-lahna, au moment du aâm-ghafar, un petit billet froissé dans la paume de la main, à glisser discrétement, n’a jamais tué,quelqu’un.
    2-Compréhension et considération:
    -Un pauvre souffre avant sa propre faim, de l’exclusion et du rejet.
    ( C’est la façon dont on fonctionne dans sa fonction d’individu qui détermine qu’un gars est bien ou pas) Qu’il y ait un peu d’hypocrisie, il n’ y a pas de soucis. D’ailleurs, ce genre d’hypocrisie est souhaitable pour un vivre ensemble, sans heurts.
    -Dans un débat, tout le monde a un avis. Nul ne détient la science infuse. Il n’ y a pas de lumière absolue. Nous apprenons tous, les uns des autres, des choses qu’on ignorait jusque-là. Aussi, il est indécent de s’adresser, au même interlocuteur pendant deux heures alors qu’on est à 6 sur le même sujet. Le débat n’est qu’un échange de points vue. Pourquoi, penser qu’il est plus intéressant de préférer »Paul » à « Kadour », parce qu’il occupe telle fonction, dans la société « X » et que l’autre, n’est qu’un banal manoeuvre mal-rasé et qui sent encore le mortier de la veille? Ces gens-là, vous surprendront en sagesse et en connaissances, pour avoir simplement, fait la haute école de la vie et vous donneront leur opinion propre, sans se référer à un nom d’érudit ou de savant pour faire joli.
    -DEUX TYPES DE PROFILS DE JEUNES PAUVRES:
    1)Celui des années 60/70: souffre-douleurs, brisé, respecteux, gentil de force, tête à claques,résigné, destructuré, dépersonnalisé,désocialisé. L’entourage réussit à le convaincre que tout ce qui peut lui arriver est dans l’ordre normal des choses….En un mot, c’est son destin.
    2)Celui des années 2000 à ce jour et cela va aller creschendo:
    -Rebelle, physique, élancé, agressif, insolent…
    Il ne croit pas à la collectivité, anticipe les coups, digère très mal ce qu’il lui arrive et IL LE FAIT SAVOIR.
    A la différence de celui des années 60 qui cherchait à s’intégrer dans la communauté, quitte à s’accrocher au dernier wagon. Celui d’aujourd’hui, se dit : « Ca ne va pas. Cette vie ne me convient pas.Je vais faire « chier » tout le monde. Passez-moi, l’expression. C’est une façon,certes violente, d’attirer l’attention sur son mal-être qui lui aussi, n’est pas moins violent.
    Est-ce la faute de l’état, du système, de l’école…? Moi, je dirai pas, seulement !
    Aucun spécialiste au monde ne peut expliquer mieux certaines choses que celui qui les a vécues.
    Pour conclure, je pense qu’il est urgent de porter un regard neuf sur les pauvres car le pire n’est pas derrière nous.
    —-Fouroulou, dans « Le fils du pauvre » de Mouloud Féraoun. c’était une autre époque ! Je le dis, sans aucune prétention, si Mouloud Féraoun devait écrire un autre livre sur les pauvres d’aujourd’hui, je crois qu’il aurait été, véhément. Je suis même sûr de ça !——
    Sahitou 🙂

  8. Comment pouvez-vous utiliser l’argent pour des guirlandes et des bancs, des maillots pour le sport etc, alors qu’il ya des gens qui n’ont pas de quoi se soigner et manger!!!!!!!!

  9. Bonjour à tous
    Tu poses une question, c’est parce que tu t’attends à une réponse.
    Je vais te donner ma réponse personnelle mais avant tout voici mes questions :
    1- Parles-tu en connaissance de cause ? Es-tu d’El-Flaye ?
    2- Veiller à nos défunts est il important pour toi ?
    3- L’épanouissement des enfants est-il quelque chose d’artificiel ?
    4- As-tu aidé ces gens dont tu parles ? Si tu ne l’as pas encore fait, es-tu prêt à le faire ? « Car ce n’est jamais trop tard pour bien faire. » Si oui quelle sera ta contribution ?
    Voila la réponse :
    Des personnes qui n’arrivent pas à manger il n’y en a pas beaucoup à El-Flaye. Notre première action a été d’aider une 20ène de familles en situation de précarité !
    Nous voulons faire plus bien évidemment. Notre belle proposition et qui tiens toujours est l’organisation d’une distribution bimestrielle de denrées alimentaires pour ces familles nécessiteuses. Nous ne trouvons pas écho pour l’instant !
    Enfin, pour ce qui est de soigner les personnes, cela dépasse nos capacités ! Néanmoins nous essayons de récolter un maximum de matériel pour les personnes handicapées car il est inaccessible ! Ce n’est quand même pas notre rôle de remplacer la sécurité sociale !
    Bonne journée

    1. Voici un autre appel de:
      Abdenour Agsous
      A TOUS NOS AMIS D’EL FLAYE-TINEBDAR-TIBANE-SOUK OUFELLA-CHEMINI
      AU VU DU NOMBRE IMPORTANT D’HANDICAPES EXISTANTS DANS NOS CHERES COMMUNES, JE VOUS PROPOSE UN SUJET DE REFLEXION: CREATION D’UN CENTRE POUR HANDICAPES COMMUN A TOUTES CES COMMUNES.
      L’ASSOCIATION D’AIDE AUX INADAPTES MENTAUX DE BEJAIA ET MOI MEME SOMMES DISPOSES A VOUS ACCOMPAGNER LE TEMPS QU’IL FAUDRA POUR LA CONCRETISATION DE CE PROJET.
      IL SUFFIT D’UNE BONNE DOSE DE VOLONTE, DE L’AIDE DES APC ET DES PARENTS D’HANDICAPES.
      JE SERAI HEUREUX DE VOIR NAITRE CETTE ASSOCIATION INTERCOMMUNALE POUR LA PRISE EN CHARGE DE NOS CONCITOYENS.
      MERCI.
      Il rajoute:
      Il y a bcp d’etapes que nous devons faire, c sur. Faudrait il que cette iidée trouve bonne écoute. Par la sute, il faut se concerter avec ts les acteurs concernés avant d’entamer une quelconque proc »dure administrative

      1. PS: Mr Abdenour Agsous est le président de l’
        ASSOCIATION D’AIDE AUX INADAPTES MENTAUX DE BEJAIA par abréviation AAIMB.
        Voir article du 26-12-2012 sur ce site (leflaye.net)
        Merci

  10. A Orange.fr
    C’est facile de faire des commentaires sur le net mais pour faire quelque chose sur le terrain, y a personne.
    – Les gens trouvent du temps pour aller au café, au bar, à la mosquée, à tenir les mûrs du quartier et à se congratuler sur face-book mais pour consacrer quelques heures par semaine pour aider dans le mouvement associatif, OUALOU !!!!
    – Ca fait des années qu’on propose aux gens sur place de créer un croissant rouge ou une association sociale pour aider les familles nécessiteuses et le collectif donnera un coup de main.
    – Mais cher ami , je crois que vous vous êtes trompé d’adresse, si vous avez des revendications à faire faites les plutôt à la mairie qui gère des milliards, elle peut bien dégager quelques millions de centimes pour le social.

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