SIDI AICH. Un homme de 32 ans égorgé au centre-ville

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couteau-sangUn homme, âgé d’environ 32 ans, a été égorgé avant-hier aux environs de 20 heures en plein centre de la ville de Sidi Aïch. Selon les recoupements d’informations en notre possession, l’acte a été commis par son compagnon du jour. Après avoir consommé de l’alcool et probablement de la drogue au niveau du marché de la ville et loin des regards, les deux «amis» allaient rentrer chez eux, lorsqu’une bagarre éclata.
L’un deux sortit son couteau pour commettre un crime. Il laissa sa victime gisant dans une mare de sang. Son arrestation interviendra quelques heures après lorsqu’il se rendit à l’hôpital, non pas pour s’inquiéter de sa victime, mais plutôt pour s’assurer de sa mort et c’était là que la police l’interpellera. On croit savoir que la victime et son bourreau seraient tous les deux des repris de justice.
Par Arezki SLIMANI – Mardi 26 Fevrier 2013
lexpressiondz.com

12 thoughts on “SIDI AICH. Un homme de 32 ans égorgé au centre-ville

  1. Je lis et relis le commentaire au dessus. Je ne comprends pas. Oui j’ai bien lu : le roi du Maroc. Waow. M6 en personne. Bravo Inspecteur Colombo ! Un dramatique fait divers. Un homme en tue un autre. Il le saigne. La suite n’est que de l’émotion. Quelque chose de proche car Sidi Aïch c’est chez nous. Juste en dessous. Peut être que nous les connaissons tous les deux. La victime et son exécuteur. Pas de noms de cité. Oui nous les connaissons certainement. Nous les avons croisés. Un peu turbulent, un peu gai. Un peu gai. Un petit coup de couteau, une vie disparaît. Une vie qui s’arrête. Tout change un monde qui s’écroule. Fait divers. Nous ne savons rien d’eux. Ils ne se quitteront plus, à jamais lié dans cet infernal fait divers. Ce ne sont pas deux types anonymes, mais si ils n’ont pas de nom. Cela s’est passé à Sidi Aïch Oui, à sidi Aïch. Ils ont de la famille, des amis, des voisins, des copains. peut être même des enfants. Nous ne sommes pas indifférents. De la famille. Peut être votre famille ou bien de la mienne. Ce n’est pas juste et c’est difficile à admettre. Drame de la bétise. Ce n’est pas acceptable. Ce n’est pas admissible. Ce n’est pas compréhensible. Je ne ferai pas d’humour. Cela serait indécent. Je n’en dirait pas plus. Même à l’Inspeceur Colombo. Le Roi du Maroc ? Pourquoi pas le pape, Monsieur l’Inspecteur. Juste un mot: Condoléances, à la Famille. Et je vous prie de me pardonner pour toute parole qui vous semblerait déplacée..
    Je lis également:: des repris de justice. Question: Donc c’est normal, ils ont eu affaire à la justice donc ils peuvent se tuer entre eux comme si de rien n’était. Pour ma part je n’ai pas de réponse.
    L’article est également bien tendancieux:  » Après avoir consommé de l’alcool et probablement de la drogue  » Cela laisse entendre que les buveurs d’alcool sont des criminels en puissance.. Tous les amateurs de vin, et je dis bien de vin, et non d’alcool, que j’ai eu le plaisir de connaître étaient plutot de bons vivants, plus soucieux de convivialité et de générosité que l’envie d’occir son prochain. ne leur est jamais venue à l’esprit.. Je ne reprendrai personne ni ne donnerai de leçon à quiconque. Mais il est facile d’avoir des préjugés, de calomnier ou de raconter n’importe quoi: dans la presse ou en commentaire. Avant de jeter l’anathème tenez vous au coran, cela éclairera votre lanterne et vous donnera un air spiritueux, avec tout le respect qui vous est dû.
    J’insiste dans mes propos, je respecte le fond et la forme.
    Et attention je n’ai pas bu. Je suis à jeun comme Tarik.
    Et même pendant le ramadan, j’évier d’avaler des couleuvres, et je ne tourne pas ma langue 7 fois dans bouche. Je la ferme tout simplement.
    Sans sous entendu,ni animosité.
    A bon entendeur, salut.
    RB

    1. Je n’ai pas pour habitude de décoder, mais en deux mots: je ne supporte pas quand on raconte n’importe quoi, en particulier des préjugés stupides et avec un grand naturel. Chez nous avant il y avait un proverbe qui disait  » Je voudrai que mon cou soit aussi long que celui d’un chameau, pour que les mots partant du coeur aient tous les temps de murir avant d’arriver à la langue et de sortir de ma bouche.
      En français on pourrait traduire cela par  » Il faut tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de parler ».
      Aussi bien dans l’article, que dans les commentaires Facebook, il aurait été sage de réfléchir avant d’écrire.
      Amicalement.
      RB

  2. « Rabattons notre suffisance, critiquons sans relâche nos propres défauts, tout comme, chaque jour, nous nous lavons la figure pour rester propres et balayons pour enlever la poussière
    Chaque individu doit se forger ses propres outils, ses propres valeurs, s’il ne veut pas se transformer en zombie
    « Un homme est la somme de ses propres malheurs. »

    1. Hamza,
      Moi je prends le coté positif et lumineux de la vie donc je dirai plutot. : un homme est la somme de ses propres bonheur.
      J’ai lu un livre (il y a un peu plus de 30 ans) de Paul Watschlavik un autrichien qui a fait partie de l’Ecole de Palo Alto, un spécialiste de la communication
      « Faites vous meme votre malheur ».
      C’est si facile.
      Et il n’est pas moins difficile de faire son bonheur.
      Les conclusions du livres c’est que quand tu as compris tout ce qui peut te rendre malheureux. C’est que tu as en main les clefs et le secret de ton bonheur.
      Rabah

  3. « Un peuple qui ne sait plus interpréter ses propres signes, ses propres mythes, ses propres symboles, devient étranger à lui-même, perd foi en son destin. » Le plus important est de pouvoir repousser ses propres limites Qui veut moucher autrui doit avoir les doigts propres.« La Révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants. » L’amour-propre exagère toujours notre mérite à nos propres yeux.« L’adolescence ne laisse un bon souvenir qu’aux adultes ayant mauvaise mémoire. »

  4. Que répondre à autant de citations ?
    Qui veut moucher autrui aura les doigts sales si il ne prend pas de mouchoir.
    L’adolescence ne laisse des souvenirs ni bons, ni mauvais, juste sa propre histoire consciente ou inconsciente inscrite dans sa propre mémoire.
     » Non rien de rien. Non rien de rien je ne regrette rien, ni le bien qu’on m’a fait, non rien de rien je ne regrette rien…
    La révolution camarade est au bout du fusil disait Mao Tsé Toung.
    La révolution mon ami, mon amie est au bout du stylo, au bout de ton regard et de ta volonté à changer les choses.
    La révolution camarade, j’en ai pris mon parti, a été engloutie et dévoyée par le Parti. La révolution c’est comme la nostalgie, elle n’est plus ce qu’elle était. La révolution, c’est comme le printemps, c’est une chanson le temps avant de passer à une autre, un jeu de marionnettes, ou les têtes tombent La révolution ce sont les marionnettistes qui changent. Les fils sont toujours là, discours convenus, mais révolutionnaires, camarade. La révolution ce sont des mythes, des interprétations, la foi en des destins si étrangers.
    La révolution, comédie humaine, récupération. Ce sont les grands qui jouent avec les petits.Révolution, révolution, mon…, mon ami, elle a un drôle de visage. Révolution, ce n’est qu’un mirage, moi qui avais cru en des jours et des hommes meilleurs, moi qui avais cru en la fin de la misère. Moi qui avais cru que les hommes sont tous frères. Moi qui avais cru que nos sœurs auraient leur juste place. Moi qui avais cru au printemps, et qui y crois encore pourtant. La révolution, j’ai cru que nous aurions l’indépendance, que le peuple serait libre et souverain. Que mon pays, mes frères mes sœurs seraient heureux chez eux. La révolution, j’ai cru que c’était la justice et l’équité. La révolution dis moi, c’est pour quand mon frère, ma sœur ? Dis moi, encore, et encore qu’avez vous fait de la révolution, mes frères, qu’avez vous fait de votre pays . Qu’avez vous fait de vos enfants mes frères révolutionnaires ? Qu’avez vous fait de la révolution, pendant que certains la cherche encore, sur Mars ou sur Saturne. Moi j’en suis là, et je suis las en Algérie.

  5. Que répondre à autant de citations ?
    Qui veut moucher autrui aura les doigts sales si il ne prend pas de mouchoir.
    L’adolescence ne laisse des souvenirs ni bons, ni mauvais, juste sa propre histoire consciente ou inconsciente inscrite dans sa propre mémoire.
     » Non rien de rien. Non rien de rien je ne regrette rien, ni le bien qu’on m’a fait, non rien de rien je ne regrette rien…
    La révolution camarade est au bout du fusil disait Mao Tsé Toung.
    La révolution mon ami, mon amie est au bout du stylo, au bout de ton regard et de ta volonté à changer les choses.
    La révolution camarade, j’en ai pris mon parti, a été engloutie et dévoyée par le Parti. La révolution c’est comme la nostalgie, elle n’est plus ce qu’elle était.
    La révolution, c’est comme le printemps, c’est une chanson, le temps d’une mélodie, avant de passer à une autre.
    C’est un jeu de marionnettes, ou les têtes tombent.
    La révolution ce sont les marionnettistes qui changent.
    Les fils sont toujours là, discours convenus, mais révolutionnaires camarade !
    La révolution ce sont des mythes, des interprétations, la foi en des destins si étrangers.
    La révolution, comédie humaine, récupération. Ce sont les grands qui jouent avec les petits.
    Révolution, révolution, mon…, mon ami, elle a un drôle de visage. Révolution, ce n’est qu’un mirage, moi qui avais cru en des jours et des hommes meilleurs, moi qui avais cru en la fin de la misère.
    Moi qui avais cru que les hommes sont tous frères.
    Moi qui avais cru que nos sœurs auraient leur juste place.
    Moi qui avais cru au printemps, et qui y crois encore pourtant.
    La révolution, j’ai cru que nous aurions l’indépendance, que le peuple serait libre et souverain, que mon pays, mes frères mes sœurs seraient heureux chez eux.
    La révolution, j’ai cru que c’était la justice et l’équité.
    La révolution dis moi, c’est pour quand mon frère, ma sœur ?
    Dis moi, encore, et encore qu’avez vous fait de la révolution, mes frères, qu’avez vous fait de votre pays . Qu’avez vous fait de vos enfants mes frères révolutionnaires ?
    Qu’avez vous fait de la révolution, pendant que certains la cherche encore, sur Mars ou sur Saturne.
    Moi j’en suis là, et je suis las en Algérie.

  6. Que répondre à autant de citations ?
    Qui veut moucher autrui aura les doigts sales si il ne prend pas de mouchoir.
    L’adolescence ne laisse des souvenirs ni bons, ni mauvais, juste sa propre histoire consciente ou inconsciente inscrite dans sa propre mémoire.
     » Non rien de rien. Non rien de rien je ne regrette rien, ni le bien qu’on m’a fait, non rien de rien je ne regrette rien…
    La révolution camarade est au bout du fusil disait Mao Tsé Toung.
    La révolution mon ami, mon amie est au bout du stylo, au bout de ton regard et de ta volonté à changer les choses.
    La révolution camarade, j’en ai pris mon parti, a été engloutie et dévoyée par le Parti. La révolution c’est comme la nostalgie, elle n’est plus ce qu’elle était.
    La révolution, c’est comme le printemps, c’est une chanson, le temps d’une mélodie, avant de passer à une autre.
    C’est un jeu de marionnettes, ou les têtes tombent.
    La révolution ce sont les marionnettistes qui changent.
    Les fils sont toujours là, discours convenus, mais révolutionnaires camarade !
    La révolution ce sont des mythes, des interprétations, la foi en des destins si étrangers.
    La révolution, comédie humaine, récupération. Ce sont les grands qui jouent avec les petits.
    Révolution, révolution, mon…, mon ami, elle a un drôle de visage. Révolution, ce n’est qu’un mirage, moi qui avais cru en des jours et des hommes meilleurs, moi qui avais cru en la fin de la misère.
    Moi qui avais cru que les hommes sont tous frères.
    Moi qui avais cru que nos sœurs auraient leur juste place.
    Moi qui avais cru au printemps, et qui y crois encore pourtant.
    La révolution, j’ai cru que nous aurions l’indépendance, que le peuple serait libre et souverain, et dans dans mon pays, mes frères mes sœurs seraient heureux chez eux.
    La révolution, j’ai cru que c’était la justice et l’équité.
    La révolution dis moi, c’est pour quand mon frère, ma sœur ?
    Dis moi, encore, et encore qu’avez vous fait de la révolution, mes frères, qu’avez vous fait de votre pays . Qu’avez vous fait de vos enfants mes frères révolutionnaires ?
    Qu’avez vous fait de la révolution, pendant que certains la cherche encore, sur Mars ou sur Saturne.
    Moi j’en suis là, et je suis las en Algérie.

  7. C’est désolant d’apprendre une telle nouvelle !
    Sidi-Aich est une ville si unique et si chère pour ses enfants, où chacun s’y sent apaisé en voyant la si belle vue de la vallée de la Soummam traversant la ville, ainsi que les villages l’avoisinant (El-flaye notamment) qui sont des villages merveilleux où l’on se sent renaître.
    Voire la situation de Sidi-Aich se dégrader à un tel degré de ne plus se sentir en sécurité et rester passif face à ça est pour moi inacceptable.
    Elle est la terre de nos ancêtres un patrimoine hérité et dont nous sommes tenus, nous héritiers de cette terre de la préserver !
    La question de la délinquance est très délicate. Dire, comment et pourquoi ce phénomène a pris racines dans cette ville? reste très difficile, du fait des différents facteurs qui pourraient bien en être la cause, tels;
    – Le manque ou même l’inexistence totale de lieux de loisirs.
    Les jeunes ont pour seul loisir la fréquentation de «  »lieux illicites et mal réputés » mais curieusement qui sont autorisés à exercer en plein coeur de la ville ou à proximité de celle-ci, vendant des boissons et qui sait (des stupéfiants??) ,ce qui n’est comme vous le savez assez bien je suppose, pas fait pour leur bien être, leur épanouissement intellectuel, relationnel, etc.
    Au lieu de leur faire apprendre à travailler et à économiser pour se faire une situation, car ils sont à la fleur de l’age et en principe, c’est la période où ils sont au summum de leur santé physique, ce qui leur permettrait de préparer au mieux leur avenir !
    Posez vous la question, ils deviendront quoi dans 15-30 ans???
    Pourquoi ne pas les motiver, par la création d’emplois notamment, ce qui leur permettraient de se sentir utiles en société.
    Et arrêtez de les pointer du doigt, disant d’eux que ce sont des ivrognes, qu’ils sont dangereux, dire d’eux qu’ils sont des repris de justice…etc. Arrêtez de les rejeter ! C’est vrai qu’il est en effet,plus facile de blâmer cette jeunesse perdue, que de faire l’effort de comprendre d’où leur vient cette perte!
    Au lieu de les rejeter, pourquoi ne pas leur tendre une bouée pour les secourir ? les rejeter ne fera qu’empirer leur situation et leur état psychologique et nourriront une envie de vengeance sur le premier venu, il le tueront et voilà, là il sera vraiment trop tard, on ne dira plus de lui qu’il est un délinquant mais un criminel !
    à qui devrait-on endosser la faute?

  8. Voici la précision qui a TROP tardée a venir !
    Il s’agit d’un règlement de comptes entre  » SIN IMSILIYEN « .

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