[Vidéo] Algérie Méditerranée : Kabylie .Sidi Aïch ( Béjaïa )

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Traversée par l’Asif Soummam , Sidi Aîch est une petite ville en Kabylie située à 42 km de Bejaia.
Par Nasser Alilouche

8 thoughts on “[Vidéo] Algérie Méditerranée : Kabylie .Sidi Aïch ( Béjaïa )

  1. azul, sahit a samir, encore une fois. un petit clin pour nous remémorer.
    ça fait plaisir de voir ces vidéos. je prend mon billet pour faire un tour.

  2. Tu sais que tu es en retraite, tout te fait mal et ce qu’il te fait pas mal ne fonctione-plus La retraite c’est quand l’age commence a paraitre sur la ceinture et la ceinture disparait La retraite c’est quand des-fois, tu as des envies mais tu ne sais pas de qu’oi.( La retrait Cest quand tu as des envies de faire du sport, et tu dors un peus en attendant que ca te passse envie. (La retraite) le moyen age c’est quand ton medecin te conseille de faire des exercices en plein aire, et toi tu monte dans ta voiture en conduisant la fenettre ouverte.( la retraite) c’est tu commence a eteindre les lumieres pour economiser. C¡est non pour proportioner un aprochement remantique.( La retraite) le manger a la lumiere d’une bougie,en laissons d’etre remantiser,et qu’ont en arrive-pas a lire le menu (La retraite) c’est au lieu de se peinier les cheveus, tu commence a camoufler les peus de cheveus qui te reste. (L’enfance) epoque de la vie, ou quand fait nourir le miroir(La ret- raite) epoque de la vie ou qu’on attends que le miroir viens.( Tu sais que tu es en (retraite) quand ta mere naturelle tout ce qu’elle t’as donner, le temps du pere commence a le reccuperer.Notre generation, c’est qu’ont en laisse de criticar, la generation plus vieille,Et en commence a criticar la plus jeune.(La retraite) c’est qu’ont on a pas l’age de donner des mauvais exemple,alors nous passont a donner des bons conseils .( La retraite) c’est qu’ont en connais toutes les reponses,mais ya personne qui nous pause de quetions. (La retraite) c’est qu’ont qu’elqu’un tombe sur toi au ciné il cherche un contacte de sensation tactile pour un manque de pouvoir érotique C’est qu’il cherche une sensation de touchement de la main. Pas de moyen de n’aitre ou mourir, la seule chose qui nous reste c’est de savourer un intervalle. On as trois periodes de la vie, l’enfance, la jeunesse, et on te vois généreux.( tu es au moyen âge) courage-toi le pir viendra bientôt. Tout ca pour les retraiters enticiper je leurs souhaite un bon mecanisme en vers leurs conjuger, parce-que qu’ont une femme suporte pas sa poitrine et son mari non plus,le m’exuse pour les fautes d’hortographe,car jai pas l’age pour memoraliser quatres langues a la fois le bonjour de barcelone a tous ce qui demande apres-moi vive les elflayiste avec bon cœur ARTHIMLILITHchaooo Pas de moyen de n’aitre ou mourir, la seule chose qui nous reste c’est de savourer un intervalle. On as trois periodes de la vie, l’enfance, la jeunesse, et on te vois genereux.( tu es au moyen age) courage-toi le pir viendra bientot. Tout ca pour les retraiters enticiper je leurs souhaite arthi MLILITHchaoooooooooooooooo.

  3. Hommage à Da Cherif Kheddam
    Da Chérif vient de partir,
    Da Chérif sera toujours là,
    Il suffit de fermer les yeux, et de le voir avec son burnous,
    Souriant et rayonnant au zénith bien au dessus de Yemma Gouraya,.
    Da Chérif c’était quelqu’un de simple pour un grand homme.
    Da Chérif c’est un magicien qui savait caresser notre âme et enchanter nos jours,
    notre maison, notre région, notre famille.
    Car oui, avec Da Chérif, nous étions tous de la même famille, du même village.
    Son village c’était mon village,
    Sa fontaine c’était ma fontaine.
    Da Chérif savait parler des sentiments,
    Avec la pudeur et la réserve des grandes passions.
    Délices merveilleux de tout ce que l’on ressent sans dire,
    sans les mots, les musiques du cœur, bonheurs simples
    parfumés de nostalgie, parfumés du pays.
    Da Chérif, c’est un maître, dans toute sa sagesse,
    respirant la mesure,
    témoins du temps qui passe, témoins du temps passé,
    Da Chérif est universel, car il était et il est la parole et le visage de son pays.
    Da Chérif était un peintre merveilleux, tel un enchanteur
    il chante et peint les couleurs de nos rues, de nos ruelles,
    de nos sentiers, de nos enfants, de nos sœurs et de nos frères.
    Da Chérif chantait notre fierté, nos errements, notre chemin,
    Il chantait bien des choses que nous n’avions pas besoin de comprendre.
    Il chantait nos rêves et nos illusions,
    Il chantait la terre, notre terre,
    Il chantait la vie, notre vie
    Da Chérif ta musique c’est la figue du matin,
    Ta poésie ce sont les chemins que l’on ne peut t’oublier
    Da Chérif…
    Da Chérif c’est notre parent à tous,
    Un parent qui nous quitte, c’est la mesure du destin
    Un parent qui nous réunit aujourd’hui comme hier,
    Da Chérif ce n’était pas un sourcier, mais pourtant il avait une baguette
    qui longtemps, longtemps rafraichira nos cœurs et notre mémoire, de ce je ne sais quoi
    si grandiose et extraordinaire, cette symphonie de ne notre monde, d’aujourd’hui et de demain,
    celle qui raconte notre histoire, celle qui nous fait entrer dans l’histoire.
    Da Chérif, que d’images et que de chansons,
    florilèges de couleurs, partitions de tous nos horizons,
    Da Chérif tu seras toujours en nous, avec nous, et nous serons toujours avec toi.
    Da Chérif, Thanemerth ,

    1. Cher Samlaflaye,
      Quelle que soit l’intention, certainement honorable mais il aurait été honnête que ce texte mis sur le site le 6 février 2012 soit , soit publié avec la signature de son auteur.
      (http://leflaye.net/2011/01/22/ils-ont-dit-n%C2%B0-01/#comment-1507
      Ce texte a été écrit le 25 février, et a été lu le même jour deux fois sur Berbère Télévison à l’occasion de la veillée hommage à Da Cherif. Copier coller, copier voler. Ce n’est pas de la grande littérature, ni de la grande poésie, juste un plaisir des mots alors souffrez de m’en laisser a paternité, c’est un des rares plaisirs du partage de ses écrits. Je comprends que l’on puisse se reconnaître dans certaines évocations. Da Cherif et sa mémoire nous appartiennent en commun. Un texte, comme une chanson on un auteur, et des interprètes. Alors rendons à Victor ce qui appartient à Hugo, à Abdel ce qui est Aziz. On pourrait continuer longtemps. « Moment de mémoire  » et « Hommage à Da Cherif » ont été écrit par RB
      Merci.

  4. Objet : Moment et lieu de mémoire…
    Moment et lieu de mémoire…
    La nature humaine est parfois étrange. La vie est un long chemin, m’a dit un jour Da El Hadj El Mouloud, (d’ath yimmel) homme pieux et sage que je retrouve parfois dans ma mémoire.
    Il m’a dit bien d’autres choses dont je ne me souviens pas. Il m’a dit bien d’autre choses sans un mot et sans intention, lui qui parlait si peu. Il m’a dit bien des choses que je retrouve en moi quand je revois ces quelques jours du temps de l’innocence et de la maturité naissante. Je me souviens, il n’avait pas besoin de demander, comme par magie, chacun trouvait sa place, chacun trouvait sa tâche.
    La vie est faite de rencontres qui façonnent le quotidien et qui tracent les destins. On se grandit dans ces rencontres, avec ces compagnons de voyages, que l’on ne choisit pas toujours.
    Sur ce chemin, je n’ai jamais eu de boussole. D’ailleurs je ne ne sais pas m’en servir. Je ne sais pas lire dans les étoiles non plus, mais j’ai appris à les regarder sans préjugés. Et comme le disait si bien Da Lakehal, autre homme plein de sagesse et de simplicité, que Dieu ait son âme  » je parle français, j’ai été à l’école moi ». Je me souviens aussi de ses paroles imagées, directes et expressives, car il disait les choses sans détours et sans malices. Ce n’était pas de la rhétorique, mais sa paroles avait forme, sincérité et personnalité. Je garde en lui une admiration et un respect toujours vivants. Sa parole était si franche et si solide, lui qui ne calculait pas, et ne s’abritait pas derrière les convenances et les faux semblants. C’était réjouissant à voir et à revoir en soi maintenant. Il savait reconnaître les siens et les autres et il avait le regard juste. Il savait reconnaître un âne, même s’il sortait de la mosquée, ou de l’université le Livre à la main.. Il lui disait face à lui,  » tu es un âne ». Il voyait et il disait juste.
    Da Lakehal, ce n’était pas un intellectuel, mais ses traces et son œuvre sont encore présentes dans les villes et les villages. Lui qui était ferrailleur connaissait la matière, le fer et la pierre, le ciment et l’eau, ses frères et son village, son pays, sa famille.
    C’était un vrai plaisir à entendre et je goûte encore la subtilité de ses propos.
    Quand je vais au cimetière. Ce ne sont pas les tombes que je vois. Qu’importe la forme, en dur ou en terre.
    Je retrouve cette intimité profonde avec les êtres chers. Ils sont dans l’au delà, au plus profond de moi. Emotions et sentiments indicibles, personnels et si intimes, un lien qui fait du bien.
    Avec ou sans paroles, j’ai l’impression de dire sans le dire. Pères, Mères, frères, sœurs, cousins, cousines, voisins voisines je suis là. Je suis avec vous. Je vous vois, je vous entends, je vous sens.
    Que ce silence est beau, et cette paix si délicieuse. Vous savez que je vous aime. Je vous l’ai dit vivant à ma manière et à la votre. Vous comprenez sans aucun doute.
    « La vie est un long chemin », et la nature humaine est parfois si étrange. Certains sur le chemin ont perdu les sens, et aujourd’hui est une drôle d’époque.
    Ce n’est pas un lieu commun, juste un soupir, un questionnement d’incompréhension. Comment redonner la vue à l’aveugle qui a pourtant des yeux si parfaits, et pourtant ne voit pas plus loin que le bout de son pré. Comment redonner l’écoute, à celui qui n’entend que lui même. Comment apprendre la vie, à celui qui agresse mêmes les morts. Comment apprendre le respect à celui qui ne se respecte pas soi même.
    A chacun sa réponse, a chacune ses réponses. Pour ma part je regarde vers le passé, je pense encore à Da Lakehal, qui jamais ne médisait. Il disait toujours à la face (agh outhem) comme on dit chez nous. Cela ne plaisait pas et il le payait très cher. Pourtant il était grand dans sa simplicité. Il était tolérant, sa parole parcimonieuse et pourtant généreuse et honnête. Il était et il est vraiment quelqu’un car il ne se prenait que pour lui même. Une phrase de lui résonne encore en moi à propos d’un proche qui lui avait fait du tort et de l’injustice (el batle). Il avait dit simplement « Ila Rebi ».
    Je ne jugerai, ni ne qualifierai ceux qui ont cru briser des tombes.
    D’ailleurs, ils n’ont brisé qu’eux mêmes, enfermés dans leur folie qui les rends insensibles à la vie, à la foi, aux passions, aux autres, à leur proches, et à eux mêmes.
    Ils ont perdu l’essence de l’existence qui est d’honorer et de respecter la vie et le vivant , au delà de la vie et de la mort, au delà des idées et des perceptions.
    Et au bout de ce chemin, au bout cette page, je n’ai pas de conclusion, ni de solution. Est ce bien utile d’ailleurs ? Il me suffit d’avoir vécu et partagé avec vous cet instant, présent

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